Plus de 25% de la forêt d’amazonienne est au point de non-retour
Le saviez-vous que plus de 25% de la forêt d’amazonienne est au point de non-retour, c’est énorme. Quand nous avons décidé d’acheter et d’importer de l’açai en poudre, nous avons souhaitez avoir un projet qui va soutenir l’Amazonie et quoi de meilleur qu’un projet de reforestation des zones avec le palmier pinot.
Nous avons écrit des articles sur le palmier pinot et son bienfaits pour la reforestation.
Le rapport intitulé « Amazon Against the Clock : Une évaluation régionale de où et comment protéger 80% d’ici 2025 » révèle qu’environ 26% de l’Amazonie subit déjà des dommages quasi irréversibles, atteignant le seuil critique. Ce document a été présenté lors d’un congrès de la Coordination des organisations indigènes du bassin amazonien et élaboré par un groupe de scientifiques et de leaders autochtones.
Les spécialistes participant à la publication du rapport insistent sur le fait qu’il est encore possible de préserver la forêt des effets de la déforestation et de la dégradation, mais que l’action doit être immédiate. Ils soulignent l’importance de la conservation de la forêt pour la lutte contre le changement climatique, car l’Amazonie absorbe d’énormes quantités de dioxyde de carbone, un gaz à effet de serre.
Le concept de « point de non-retour » a longtemps été envisagé comme une échéance future où les dommages infligés à l’Amazonie deviendraient irréversibles. Cependant, les responsables du projet estiment que la forêt est actuellement en état de crise et que ce seuil a déjà été franchi. Cela signifie que la forêt pourrait commencer à émettre plus de carbone qu’elle n’en absorbe, exacerbant ainsi le changement climatique.
Le rapport a été rédigé en réponse à une résolution adoptée lors du Congrès mondial de la nature de l’UICN l’année précédente, qui a approuvé la motion 29 visant à protéger 80% de la forêt amazonienne d’ici 2025. Cette initiative vise à préserver la biodiversité de la région et à maintenir son rôle dans la régulation du climat.
Les informations du rapport, couvrant la période de 1985 à 2020, ont révélé que 26% de l’Amazonie a déjà été déboisée ou suffisamment dégradée pour atteindre le point de non-retour – 20% subissant des changements irréversibles dans l’utilisation des terres et 6% extrêmement dégradées. Ces chiffres soulignent l’ampleur du défi auquel nous sommes confrontés pour préserver cette région vitale.
Néanmoins, il est encore possible de protéger jusqu’à 74% de la partie de la forêt qui reste intacte et de restaurer les 6% dégradés. Parmi les solutions proposées dans le rapport pour prévenir d’autres dommages à la forêt, figure la reconnaissance d’environ 100 millions d’hectares de terres indigènes – ce qui a également été souligné par l’ONU comme étant essentiel pour réduire les risques liés au changement climatique.
Environ 86% de la déforestation en Amazonie se concentre en dehors des terres indigènes ou des zones protégées, ce qui indique le potentiel de conservation offert par ces lieux. Cependant, seulement 48% de l’Amazonie est considérée comme faisant partie des territoires indigènes reconnus par la loi, laissant plus de 50% de la superficie vulnérable à la dégradation.
Outre la reconnaissance de ces zones, le rapport suggère également d’autres solutions pour la conservation des forêts, telles que la cogestion entre les communautés indigènes et les zones locales de la forêt restante, la présentation de plans d’action et l’annulation des dettes des pays amazoniens. Ces mesures, combinées à une action internationale pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, sont essentielles pour préserver l’Amazonie et lutter contre le changement climatique.
Ingrédients
- Plus de 25% de la forêt d'amazonienne est au point de non-retour
Préparation
Plus de 25% de la forêt d'amazonienne est au point de non-retour