Impact de la sécheresse sur les cultures de café et de poivre noir au Brésil et dans le monde
Découvrez l’impact de la sécheresse sur les cultures de café et de poivre au Brésil et dans le monde.
Nous constatons une sécheresse partout au Brésil, la sécheresse est tel que l’électricité va coûter plus chère même beaucoup plus chère avec l’arrivée du drapeau rouge. Si les les barrages sont à sec, les agriculteurs aussi.
A Belo Horizonte, nous sommes à plus de 170 jours sans pluie, oui 170 jours sans pluie le 03/10/2024, c’est une première depuis 20 ans.
Ici, vous voyez que le manque d’eau pendant la période de fructification des plantes va engendrer une baisse de la production, une hausse des fruits.
Cette sécheresse prolongé à déjà eu des conséquences au Vietnam baisse de la récolte de café et de poivre, au Brésil pareil et problème dans la production d’orange.
Les données récentes indiquent une chute significative des rendements, entraînant une augmentation des prix sur le marché. Cette situation est d’autant plus préoccupante que l’État est un acteur majeur dans la production de ces denrées au Brésil.
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Quelle est la différence entre le poivre blanc et poivre noir
Impact de la sécheresse sur les cultures de café et de poivre noir – Les Effets sur la production de café
Dans la région de Caparaó, dans l’état de Espirito Santo célèbre pour son café de haute qualité, les producteurs anticipent une baisse alarmante de 40 % de leur production en raison des conditions climatiques extrêmes.
Les producteurs se retrouvent comme dans le Minas Gerais au Brésil, au Vietnam avec un manque de pluies qui va engendrer une baisse de la production.
Il a eu 3 fois moins de pluies par rapport l’année dernière, de 250mm de pluies, nous sommes passé à moins de 90mm et dans le Minas Gerais c’est même 0.
Ici, vous allez avoir un stresse hydrique au niveau de la plantation. Comme pour comment faire fleurir le vanillier.
Ici, le stresse va engendrer une augmentation de la production de fleurs, mais aussi des avortements. . C’est la plus longue période de sécheresse que nous ayons jamais connue. Il faut savoir quand je voyageais dans la période de Septembre vers l’Europe à partir du 10 Septembre la pluie commencé à tomber. De beau nuage bleue arrivée sur Belo Horizonte, aujourd’hui plus rien.
De plus, la sécheresse a favorisé l’apparition de maladies telles que la rouille du café, aggravant encore plus les pertes. Les experts estiment que ces maladies pourraient réduire davantage les rendements, ajoutant une pression supplémentaire sur des agriculteurs déjà en difficulté.
Diminution des récoltes de poivre noir
La culture du poivre noir dans le nord d’Espírito Santo subit également des conséquences désastreuses avec la sécheresse, la récolte est compromise à hauteur de 50 %.
Depuis Mai, on constate des températures estivales élevées ont persisté pendant l’automne et l’hiver, rendant difficile la pollinisation des fleurs. Ces conditions climatiques ont provoqué un avortement massif des fleurs, réduisant considérablement le nombre de grains produits.
Ici, nous nous retrouvons dans une situation historique partout dans le monde, cacao récolte en baisse, poivre en baisse, safran en baisse et surtout la qualité qui baisse.
Il faut savoir que la fructification du poivre c’est 6 à 8 mois. Donc les prix peuvent grimper pendant 2 ans avant de se stabiliser et de baisser.
Ses conditions sont historiques et même à Madagascar.
Conséquences économiques
Il a bien 3 conséquences économiques, producteurs, exportateur et importateur et pour vous.
Les producteurs vont devoir revoir le prix en hausse pour absorber le coût de production de l’épice, la baisse de récolte peut arriver à 30% de la production total pour cette année.
Cette hausse menace également la rentabilité des producteurs qui peinent déjà à couvrir leurs coûts de production. Avec une baisse significative des rendements dans plusieurs cultures clés comme le café et le cacao, l’économie locale pourrait subir un coup dur.
Ici, on constate au Brésil, baisse de la production de cacao, orange, guarana, açai, fève tonka, poivree, café et d’autres épices.
On constate une situation historique partout dans le monde.
Les agriculteurs sont aujourd’hui encouragé à adopter un nouveau système d’irrigation et surtout de l’ombrage.
Mais mettre du goutte à goutte coûte chère même très chère.
Les importateurs et exporteurs, il va avoir des morts comme pour les épiceries fines. Mais celle-ci peuvent acheter des grains de qualité inférieur et avec du marketing faire croire que c’est la même qualité. On l’a vu avec la vanille de Madagascar et des noms incroyables comme bourbon gold, vanille kelly et autres noms qui peuvent tromper le consommateur.
Ensuite pour vous, les prix vont flamber nous tablons sur une hausse de 50% du prix du poivre sur certaines destinations.
Au Comptoir de Toamasina nous allons renier sur nos marges, mais nous sommes confrontés à la HCU de google et nous avons perdu 90% de notre trafic et nous ne savons pas si en 2025 nous serons encore là. Aujourd’hui google va privilégié des voleurs de contenues. Notre page le prix de la vanille a perdu 100% de son trafic au profit du site https://vanilledetahiti.com/prix-vanille-de-tahiti-la-tendance-du-marche/#:~:text=Pour%20commencer%2C%20la%20vanille%20de,de%20plus%20de%2014%20cm qui a tout simplement plagié notre recherche et même pas un lien retour.
